L’expérimentation pédagogique dans le 2ème cycle
Au cours de l’année 1973-1974, un tronc commun est mis en place en seconde après une concertation entre les enseignants.
Objectifs recherchés
- Établir une orientation des élèves sur une base plus large que la classe de 3ème, par une observation suivie des capacités, des goûts et des réactions de chacun face à un tronc commun obligatoire, à des options et à une organisation plus souple du temps scolaire.
- Développer le travail personnalisé.
- Instituer la relation à un « tuteur » chargé d’accompagner un groupe de quinze ou seize élèves
- Etablir un nouveau style de rapport « enseigné-enseignant » pour faciliter l’accompagnement des élèves et leur organisation personnelle du travail durant cette année d’orientation.
D’année en année, le système, accepté par les services académiques, grâce à une dérogation, au statut d’établissement expérimental de plein exercice, s’est développé et précisé : des groupes de niveaux sont constitués dans certaines disciplines, les options trimestrielles sont de trois sortes (soutien, centres d’intérêt, méthodologie), l’horaire scolaire est constitué à partir de modules de quinze minutes cumulables, le tuteur devient un véritable conseiller pédagogique de l’élève, un dossier d’évaluation lui permet, à lui et à sa famille, de suivre sa progression ; des activités de tutorat extérieures à la classe favorisent la vie de groupes et surtout, l’élève participe à la recherche de sa propre orientation.
En Première et en Terminale, l’élève est entré dans une série déterminée : A, B, C, D ou G2, mais des prolongements de l’innovation pédagogique propre à la classe de seconde rendent les structures plus souples, plus favorables au travail personnalisé, à la pluridisciplinarité et au choix libre d’options culturelles.
Un institut de tutelle, l’I. S. P. (Institut Supérieur de Pédagogie de Paris) aide à l’évaluation de cette expérimentation qui est subventionnée et contrôlée par le Ministère de l’Education.
Père Amet, s.j. (1929-2015)
Revue 1981
Tivoli… en fête
Cinquantenaire 1931-1981 de TIVOLI-PEYREBLANQUE
Ce sigle a été retenu à la suite d’un concours organisé dans les classes de Terminales, Première, Troisième, Quatrième par Mme Benezech et Mme Tressens.
Auteur : Jean LASSALLE, élève de Terminale C
On y retrouve le 5 et le 0 cinquante dans le branche supérieure du 5.
Enfin les quatre dates correspondent à :
- 1572 : Ouverture du Collège de la Madeleine (actuellement Lycée Michel Montaigne)
- 1851 : Ouverture du collège à la Sauve Majeure
- 1931 : Ouverture du collège dans ses locaux actuels
- 1981 : Cinquantenaire
extraits Noël 1981-Pâques 1982, 59ème Année N°3 et 4