500ème anniversaire

de la mort d’Ignace

le baroque

1991, année Ignatienne, derniers échos.

Pour conclure en beauté l’année ignatienne, déjà célébrée à Tivoli par une exposition sur le XVIème siècle humaniste et spirituel à Bordeaux et en France et par le pélerinage à Loyola, notre proto-salle polyvalent – autrement dit « La grand Chapelle » – à accueilli, du 14 octobre au 22 novembre 1991 novembre 1991, une exposition sur le thème des « Missions Jésuites » aux XVIIè siècles.

M. Denis DECOURCELLE, ethnologie, avait bien voulu prendre en charge son organisation, concentrant ses mise en lumière sur la Chine, l’ Amérique du Sud (Réductions du Parguay) et la nouvelle-France (où l’on retrouve la trace émouvante de plusieurs Pères bordelais ou partis de Bordeaux). Faisant feu de tous bois, M.Decourcelle avait monté trois secteurs de panneaux et de vitrines, informant et sensibilisant les visiteurs par des cartes, des documents, d’archives,des agrandissements des gravures, des textes explicatifs et es objets indigènes.

Parallèlement, le visiteur pouvait audiovisionner deux cassettes , l’une faisant une présentation plus étoffée des trois centre d’intérêt de l’exposition, l’autre constitués par un entretien passionnant entre M. Decourcelle et le Père Leroy, nonagénaire étonnamment jeune d’esprit, qui fut collaborateur, en chine, du Père Teillard de Chardin.

Non content de cette double démarche, M.Decourcelle à faire éditer une plaquette : « La gloire de Dieu à l’épreuve du monde », au sommaire de laquelle on peut trouver les signatures des Mmes Tobie, et Cessac, du Dr Martin et des Pres Ragonneau, Kobik, et Barthe-Dejean.

Enfin, deux conférences sont venues compléter ce déjà riche ensemble : l’une, le  Octobre, de M.Decourcelle sur les trois sous-ensembles de l’expositions, Chine, Parguay, Nouvelle-France ; l’autre , le  Novembre, pu particulièrement consacrées à la Chine,et au Père Teilhard de Chardin. Le Dr Martin, ancine élève et président du Cercle Teilhard de Chardin de Bordeaux, nous a fait profiter de la très riche conographie qu’il a réunie sue le savant Jésuite, avant de céder la parole à Soeur Ina BERGERON, Franciscaine missionnaire de Marie, qui a vécu dans la Chine de Mao et  eu la « chance » d’en goûter les prisons : Par sa flamme et sa grade culture de sinologue, témoignant d’une jeunesses de coeur intacte (elle n’a que 87 ans…), Soeur Ina a subjugué et emballe son auditoire, à commencer par les lycéens qui avaient osé « se pointer » à cette soirée supposée austère.

Que M. Decourcelle, le Dr Martin, Soeur Bergeron, trouvent une fois encore, ici le témooignage du notre reconnaissance pour leur compétence, leur enthousiasme et leur disponibilité.

extrait de la Revue n°6 mai 1992